Utiliser un CMSLe référencement professionnel est un secteur où tout le monde fait ce qu'il veut. Après tout, il n'existe pas d'écoles ou de diplômes et on peut uniquement anticiper le fonctionnement d'un moteur de recherche. Si vous vous lancez dans le SEO d'un site pour l'un de vos clients, vous devez connaître les étapes de base avant d'utiliser des techniques sophistiqués. Certains vont directement sauter ces étapes et ils vont se retrouver avec plus de problèmes qu'auparavant. Quand on vous engage pour le bilan de référencement d'un site, vérifiez d'abord que toutes les pages sont indexées. En premier lieu, comptez le nombre de pages réelles sur le site, ensuite faites une commande site:lesite.com pour connaître les différences. Il n'est pas nécessaire d'obtenir une comparaison identique, mais une approximation. Si vous avez 150 pages réelles sur le site et que la commande site: affiche 148 pages alors les pages sont bien indexées. Il arrive que les pages indexées soient supérieures à celles qui sont réellement présentes. Il n'y a pas de problème si le nombre est minimal, mais s'il y en a trop, alors le site a un problème de contenu dupliqué.
Si le site appartient à une entreprise ou une personnalité, assurez-vous que la requête sur son nom de domaine fait apparaître le site dans les premiers résultats. Si le nom de domaine n'est pas dans les premiers résultats, alors vous avez affaire à une pénalité de type Sandbox. Cependant, cette affirmation est relative et elle dépend principalement si le nom de domaine est unique. Si le NDD est générique et qu'il vise une thématique, alors il aura de nombreux concurrents et donc, la position optimale du nom de domaine n'est pas prioritaire. Ensuite, vérifiez la version de cache de Google avec la page réelle. Les deux pages doivent être identiques et si ce n'est pas le cas, cela indique que Google n'a pas réussi à indexer la version la plus récente. L'une des raisons est une inaccessibilité du serveur et que la page n'est pas disponible.
L'URL canonique d'un site fait référence au WWW avant le nom de domaine. La redirection canonique permet de rediriger les visiteurs sur le même site qu'ils tapent ou non ce fameux WWW. Cependant, si le site n'est pas « canonisé » alors Google va considérer que site.com et www.site.com sont deux sites différents et vous allez vous retrouver avec toutes vos pages qui seront dupliquées provoquant une pénalisation immédiate. Il est facile de faire une redirection canonique. Soit, vous utilisez le fichier .htaccess en indiquant votre préférence (de nombreux tutoriels sont disponibles à ce sujet sur le web), soit, vous pouvez le faire via les outils de webmestres de Google. Une autre technique pour contrôler le contenu dupliqué sur un site est de prendre une phrase unique sur l'une de vos pages et de l'utiliser comme une requête avec des guillemets. Cela dit à Google de chercher toutes les correspondances identiques à cette phrase et vous découvrirez tous les contenus dupliqués.
Nous avons effectué toutes les vérifications en amont et maintenant, on passe au contrôle individuel des pages. La première chose est de s'assurer que l'URL est optimisée. Ce n'est pas la peine de la remplir avec des mots-clés, mais qu'elle contient au moins les principaux termes de votre page. Ensuite, la description doit être une seule ligne au maximum de 150 caractères. Elle doit décrire la totalité du contenu et on conseille aussi de mettre quelques mots-clés dedans. Ensuite, on a l'élément important du référencement qui est le titre. Ce dernier ne doit pas être bourré de mots-clés et il doit inciter le visiteur à cliquer. N'oublier que ce titre avec la description est les deux seuls éléments visibles dans les SERPs de Google.
Et enfin, on a le contenu qui doit être suffisant pour chaque page. Ce n'est pas parce que vous avez 50 pages avec 50 mots que vous avez un bon site. Un contenu doit être au minimum de 250 mots avec une insertion intelligente de vos mots-clés. Et vous devez répéter ces étapes pour chaque page de votre site.
Contenu dupliqué et redirection canonique
Si le site appartient à une entreprise ou une personnalité, assurez-vous que la requête sur son nom de domaine fait apparaître le site dans les premiers résultats. Si le nom de domaine n'est pas dans les premiers résultats, alors vous avez affaire à une pénalité de type Sandbox. Cependant, cette affirmation est relative et elle dépend principalement si le nom de domaine est unique. Si le NDD est générique et qu'il vise une thématique, alors il aura de nombreux concurrents et donc, la position optimale du nom de domaine n'est pas prioritaire. Ensuite, vérifiez la version de cache de Google avec la page réelle. Les deux pages doivent être identiques et si ce n'est pas le cas, cela indique que Google n'a pas réussi à indexer la version la plus récente. L'une des raisons est une inaccessibilité du serveur et que la page n'est pas disponible.
L'URL canonique d'un site fait référence au WWW avant le nom de domaine. La redirection canonique permet de rediriger les visiteurs sur le même site qu'ils tapent ou non ce fameux WWW. Cependant, si le site n'est pas « canonisé » alors Google va considérer que site.com et www.site.com sont deux sites différents et vous allez vous retrouver avec toutes vos pages qui seront dupliquées provoquant une pénalisation immédiate. Il est facile de faire une redirection canonique. Soit, vous utilisez le fichier .htaccess en indiquant votre préférence (de nombreux tutoriels sont disponibles à ce sujet sur le web), soit, vous pouvez le faire via les outils de webmestres de Google. Une autre technique pour contrôler le contenu dupliqué sur un site est de prendre une phrase unique sur l'une de vos pages et de l'utiliser comme une requête avec des guillemets. Cela dit à Google de chercher toutes les correspondances identiques à cette phrase et vous découvrirez tous les contenus dupliqués.
L'URL, la description, le titre et le contenu
Nous avons effectué toutes les vérifications en amont et maintenant, on passe au contrôle individuel des pages. La première chose est de s'assurer que l'URL est optimisée. Ce n'est pas la peine de la remplir avec des mots-clés, mais qu'elle contient au moins les principaux termes de votre page. Ensuite, la description doit être une seule ligne au maximum de 150 caractères. Elle doit décrire la totalité du contenu et on conseille aussi de mettre quelques mots-clés dedans. Ensuite, on a l'élément important du référencement qui est le titre. Ce dernier ne doit pas être bourré de mots-clés et il doit inciter le visiteur à cliquer. N'oublier que ce titre avec la description est les deux seuls éléments visibles dans les SERPs de Google.
Et enfin, on a le contenu qui doit être suffisant pour chaque page. Ce n'est pas parce que vous avez 50 pages avec 50 mots que vous avez un bon site. Un contenu doit être au minimum de 250 mots avec une insertion intelligente de vos mots-clés. Et vous devez répéter ces étapes pour chaque page de votre site.